La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

auteur Andrés Barba

A propos

Des âges farouches En trois courts romans, l’Espagnol Andrés Barba ausculte le désir. Décapant, brutal et beau. La principale qualité de la littérature est peut-être celle de déranger, déstabiliser, déconstruire les certitudes, prendre à contre-pied. Elle permet de se confronter aux côtés obscurs, à ce qui n’est pas encore nommé. Dangereuse, pernicieuse pour certains, on peut lui en vouloir, ainsi qu’à ses auteurs ! Mais on ne pourra jamais reprocher à cette littérature sombre, amère, urticante d’être figée, convenue, industrielle, racoleuse. Elle permet de transcender, progresser, même si c’est à tâtons dans la nuit noire. Cette littérature, les auteurs ne la choisissent pas. C’est elle qui...
juin 2018
Le Matricule des Anges n°194

Ouvrage chroniqué

Une république lumineuse
de Andrés Barba
2020
Entre mythe vérolé de l’innocence infantile et violence de nos sociétés, s’ébroue le nouveau roman d’Andrés Barba. Pernicieux, somptueux. Qu’une société soit effrayée par ses propres enfants n’augure rien de bon ! Les États-Unis ont découvert dans les années 70, du Flower Power au meurtre de l’actrice Sharon Tate par la secte de Charles Manson, que la jeunesse pouvait mettre cul par-dessus tête les valeurs fondatrices d’une nation. Sortirent une flopée de films d’horreur où les enfants possédés ou pas incarnaient les forces du mal. Que la prétendue innocence originelle de l’enfance puisse être niée remet tout en cause – le vivre-ensemble, la famille, la société, le présent – et hypothèque l’avenir. Pour Freud, le jeune...
Dominique Aussenac
juin 2020
Le Matricule des Anges n°214