auteur Armande Gobry-Valle
Ouvrages chroniqués
Un triptyque
de
Armande Gobry-Valle
Les deux derniers livres d’Armande Gobry-Valle sont la signature d’un grand écrivain. Pourquoi ? Parce qu’ils sont porteurs de tant d’émotion que la tristesse devient un vrai bonheur.
Armande Gobry-Valle, lauréate du Goncourt du premier roman 1991 avec Iblis ou la Défroque du serpent, s’est attachée dans Un Triptyque aux destins de trois femmes, trois générations d’une même lignée qui traverse le siècle. La vie quotidienne de trois femmes qui ont le malheur pour style de vie. Des histoires qui pourraient être banales. Seulement voilà : le regard de l’écrivain, son extrême délicatesse à nous inviter à venir voir d’un peu plus près cette détresse, cette pathétique course après la vie font de ces trois personnages des êtres de chair bouleversants.
Armande Gobry-Valle...
La Convulsion des brasiers
de
Armande Gobry-Valle
Les deux derniers livres d’Armande Gobry-Valle sont la signature d’un grand écrivain. Pourquoi ? Parce qu’ils sont porteurs de tant d’émotion que la tristesse devient un vrai bonheur.
Armande Gobry-Valle, lauréate du Goncourt du premier roman 1991 avec Iblis ou la Défroque du serpent, s’est attachée dans Un Triptyque aux destins de trois femmes, trois générations d’une même lignée qui traverse le siècle. La vie quotidienne de trois femmes qui ont le malheur pour style de vie. Des histoires qui pourraient être banales. Seulement voilà : le regard de l’écrivain, son extrême délicatesse à nous inviter à venir voir d’un peu plus près cette détresse, cette pathétique course après la vie font de ces trois personnages des êtres de chair bouleversants.
Armande Gobry-Valle...
Le Puits d’exil
de
Armande Gobry-Valle
Entre la Métamorphose et Le Procès de Kafka, le troisième roman d’Armande Gobry-Valle dépouille l’être de ce qui le relie aux autres. L’enfer.
Un homme, instituteur marié et père de famille infidèle, est enlevé un jour de février par des ravisseurs cagoulés. Jeté dans une sorte de cuve froide, il va vivre un enfermement humiliant sans savoir ni par qui ni pourquoi il a été enlevé.
Le Puits d’exil ressemble à un défi. Armande Gobry-Valle, dont la technique d’écriture - s’incarner dans le personnage - s’apparente au travail d’une actrice, a plongé son narrateur dans une situation extrême. Comment rendre compte d’un enfermement total, absolu ? Comment vivre par l’écriture ce qui déjà est invivable ?
Pour que l’expérience soit...