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auteur Arthur Bernard

A propos

Florilège d'effigies Roman composé et rehaussé de dix tableaux, ode au corps féminin, Le Désespoir du peintre d’Arthur Bernard convie le lecteur au cœur d’un ballet de confluences topographiques, sensuelles et esthétiques. En exergue, un vers du peintre et écrivain Francis Picabia extrait d’« Unique eunuque », fulgurance paradoxale et convulsive, donne le la : « Tous les tableaux sont morts et continuent de vivre ». Arthur Bernard s’en empare et, tableaux de maîtres en contrepoint, à l’appui, compose un texte charnu dans le grain duquel tout s’enchevêtre : la femme l’amour et la mort, personnages de papiers et figures peintes, Nantes, Paris, Amsterdam, le dehors et le dedans, le captif et l’impalpable, etc. Au gré d’une succession de tableaux à la fois picturaux et dramatiques, Le Désespoir du peintre...
juin 2009
Le Matricule des Anges n°104

Ouvrages chroniqués

Ça va
de Arthur Bernard
2022
En 2019 déjà, on craignait qu’Aux captifs, aux vaincus ! ne soit son dernier livre ; cette fois, ça l’est vraiment, hélas. Après ce livre-là, dont le titre Ça va sonne ironiquement, on n’entendra sans doute plus la voix si particulière d’Arthur Bernard, lourdement atteint par celle qu’il appelle presque affectueusement « miss Parkinson ». La « sorcière » a définitivement pris le dessus, le laissant, à 80 ans passés, sans possibilité désormais de résister. Moins testament que témoignage ultime de vie, dernière prise de parole comme on dit prise de guerre, Bernard « le trop grand bavard »,...
Anthony Dufraisse
avril 2022
Le Matricule des Anges n°232
Aux captifs, aux vaincus !
de Arthur Bernard
2019
Arthur Bernard déroule, à sa manière, les fils de sa pelote existentielle. C’est toujours un plaisir de retrouver Arthur Bernard et son style bien à lui, à la fois sophistiqué et oralisant, un peu éraillé et débraillé, d’une loquacité roborative. Un plaisir, oui, de renouer avec sa tournure d’esprit si particulière, où l’ironie et l’autodérision ont souvent la part belle. Encore que cette fois-ci, le plaisir se teinte d’inquiétude. Ce texte (totalement ?) autobiographique serait-il son dernier livre ? À l’approche de ses 80 ans, l’intéressé le laisse entendre. C’est que tout ce récit est une sorte de remémoration improvisée, un genre de grande digression jazzy...
Anthony Dufraisse
janvier 2020
Le Matricule des Anges n°209
Tout est à moi, dit la poussière
de Arthur Bernard
2016
Dans un récit où flottent les traces d’autres récits, Arthur Bernard prolonge la courte vie d’un forçat presque anonyme, une odyssée sans retour qui s’achève en cerf-volant. Ce qui commence comme l’autofiction d’un narrateur/auteur qui se perd en pseudonymes devient la fiction de la vie réelle d’un autre. Qu’importent les rouages de cette vie vraie et fausse, puisque dès le titre la poussière nous fait savoir que tout cela lui appartient. Nul avertissement biblique, mais l’évocation plus prosaïque, plus poétique, des œuvres du temps. Il tisse son oubli et le dépose en couches sur des vieux papiers jaunis. Un temps que l’on peut réécrire, voire écrire tout court, substituant aux éléments qui nous manquent d’autres qui nous plaisent. Retourner la poussière, la...
Guillaume Contré
septembre 2016
Le Matricule des Anges n°176
L' Oubli de la natation
de Arthur Bernard
2004
Un décor : port de pêche aux « aspects riants », proches marais peu recommandés, bistrot des marins, conserverie Terblanche désaffectée, et demeure bourgeoise, fantomatiquement habitée, des dames Terblanche. Personnages : marins pêcheurs aux surnoms burlesques, fossoyeur boiteux mi-Saturne mi-Héphaïstos, prostituées vieillies ou plus neuves. Scènes : « branle-bas » soûlographiques, promenades sous la pluie, enterrements de maquereaux dans le jardin, naufrages réels ou imaginaires. On pourrait craindre le pire : du pittoresque à la Mac Orlan, hâtivement replâtré. Mais, par bonheur, nous...
Thierry Cecille
octobre 2004
Le Matricule des Anges n°57
Le Neuf se fait attendre
de Arthur Bernard
Charles Lièvremont, un fondé de pouvoir installé dans un appartement trop vaste pour lui seul, héberge un soir Victor Cœurderoy, intérimaire sans domicile fixe, rencontré à la sortie d’une séance de cinéma. Les deux nouveaux amis s’entendent bien et sans qu’ils aient à se le dire, Cœurderoy devient le compagnon de vie de Liévremont. Avenue Signorelli, leur existence s’écoule avec la régularité d’un fleuve tranquille. À la manière d’un Bouvard et d’un Pécuchet -en moins, beaucoup moins ambitieux- les deux acolytes élaborent des projets de voyage qui n’aboutiront pas, font des rencontres...
Marie-Laure Picot
février 1996
Le Matricule des Anges n°15