La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

auteur Laure Cambau

Ouvrages chroniqués

Le Couteau dans l’étreinte
de Laure Cambau
2007
C’est le deuil de la splendeur que mène Laure Cambau dans le recueil qui fait suite à Et le pourboire des anges ? (L’Amandier, 2005). En quatre parties - Des poissons dans l’âme ; Fumeurs d’arpèges ; Le couteau dans l’étreinte ; Par le trou du silence - dessinant quelque chose comme le cercle carré de (l’impossible) amour, c’est de la violence rayonnante de l’éros, de ses célestes flambées comme de ses lendemains ténébreux, qu’elle témoigne. Des vers travaillés par la force corrosive des instincts, la spontanéité primitive des élans, la saveur clandestine des humeurs. Une manipulation...
Richard Blin
octobre 2007
Le Matricule des Anges n°87
Et le pourboire des anges
de Laure Cambau
2007
Un son, un rythme, du panache, de la gravité aussi, la poésie de Laure Cambau relève d’une verve aussi lucide que débridée et d’un sens souverain de la désinvolture assumée. « Laisse tes rêves/ géographie souterraine/ sur le tabouret// un homme à la coque/ daté à l’encre rouge/ sur la fesse gauche// pluie sur le laurier/ un crapaud sous la soutane/ ton corps à l’ouvrage// mon lit est un zoo/ le repos du voyageur/ épluché en silence ». Un droit à l’étrangeté revendiqué haut et fort, décliné avec de beaux accents d’intensité et conjugué à des désirs en migration ou à des appels à la tempête...
Richard Blin
juillet 2005
Le Matricule des Anges n°65