auteur Marc Bernard
A propos
Autour de Marc Bernard
Deux livres, ou deux manières différentes de reprendre contact avec Marc Bernard (1900-1983), prix Goncourt 1942 avec Pareils à des enfants, et pour certains (dont Christian Estèbe), surtout l’auteur du roman poignant et pudique La Mort de la bien-aimée, écrit au lendemain de la disparition de son épouse.
À hauteur d’homme réunit des évocations d’amis écrivains (mais pas seulement : pour preuve celle de Zola), réalisées à l’occasion d’hommages, et publiées entre 1939 et 1981. Des évocations qui témoignent d’amitiés littéraires (Chardonne, Paulhan, Calet, Gide, Pia), mais aussi...
Ouvrages chroniqués
Sarcellopolis
de
Marc Bernard
2019
En 1963, mandaté par Flammarion, Marc Bernard emménage à Sarcelles pour un reportage en immersion dans ce qu’il est alors convenu d’appeler « le Grand ensemble ». L’éditeur attend un pamphlet : il en sera pour ses frais. Car s’il se méfie a priori de tout ce qui « de près ou de loin sent le tas », l’écrivain ne se sent curieusement pas mal du tout dans ce prototype de ville nouvelle dont les appartements, vastes, aérés, lumineux, commodes, sont un véritable enchantement pour les habitants, d’origine modeste pour la plupart et souvent issus de taudis dont Marc Bernard lui-même a connu son...
Vacances-surprises
de
Marc Bernard
2016
Rouquin musculeux de Nîmes, Marc Bernard est le représentant du prolétariat cultivé mais trop discret. À lire entre Georges Navel et Henri Calet.
Avec Marc Bernard (1900-1984), cette rubrique vouée aux égarés se met sur le fil du rasoir. Impossible de dire si Marc Bernard est un oublié ou bien un retrouvé ! Même si Stéphane Bonnefoi, Nîmois de même, bataille depuis quinze ans pour lui rendre sa superbe. On dit bravo devant tant d’enthousiasme – et d’acharnement justifié. Bonnefoi, dépositaire des archives de Bernard, a trouvé son os à ronger et s’emploie vaillamment avec le concours d’éditeurs consciencieux (Le Dilettante et Finitude en particulier) à rétablir le prolétaire Marc Bernard dans ses droits d’auteur méritant....
Mayorquinas
de
Marc Bernard
2016
Rouquin musculeux de Nîmes, Marc Bernard est le représentant du prolétariat cultivé mais trop discret. À lire entre Georges Navel et Henri Calet.
Avec Marc Bernard (1900-1984), cette rubrique vouée aux égarés se met sur le fil du rasoir. Impossible de dire si Marc Bernard est un oublié ou bien un retrouvé ! Même si Stéphane Bonnefoi, Nîmois de même, bataille depuis quinze ans pour lui rendre sa superbe. On dit bravo devant tant d’enthousiasme – et d’acharnement justifié. Bonnefoi, dépositaire des archives de Bernard, a trouvé son os à ronger et s’emploie vaillamment avec le concours d’éditeurs consciencieux (Le Dilettante et Finitude en particulier) à rétablir le prolétaire Marc Bernard dans ses droits d’auteur méritant....

À l’attaque !
de
Marc Bernard
2004
Avant de faire dignement carrière comme romancier (prix Goncourt en 1942, prix de l’Académie française en 1973 pour l’ensemble de son œuvre), Marc Bernard (1900-1983) fit ses classes dans le Monde très prolétarien de Barbusse, y publiant, de 1928 à 1932, des articles plutôt véhéments.
Ce recueil, au titre d’ailleurs mal choisi (Marc Bernard s’y livrant tout autant à l’attaque qu’à la défense), collige des portraits, des critiques de livres, et des textes de circonstance, comme celui rédigé pour le centenaire de la naissance de Mistral. Certaines de ces pages font un peu magasin...