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Le Matricule des Anges
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La rédaction Christophe Fourvel

Articles

Le Livre d’or des gens de Sunne

de Göran Tunström
Les lumières de Sunne Décernons un prix : celui du meilleur premier chapitre de cette rentrée littéraire à Göran Tunström pour Le Livre d’or des gens de Sunne. Une nuit dans un village suédois, des personnages regardent la lune pour la première fois à travers une lunette astronomique et se risquent à en nommer les mers. Puis un homme surgit derrière eux et s’effondre, ivre mort, après cette intervention : « Mare Tranquillitatis, répéta l’ivrogne, debout au milieu du parvis de l’église, inondé de lumière. Je n’ai pas besoin d’atlas, je suis sûr de ce que j’avance, j’en reviens tout juste. » Cela s’avérera...
octobre 1999
Le Matricule des Anges n°28

Le Marteau et l’enclume

de Christine Falkenland

Mon coeur fait de chair

Premier roman traduit de Christine Falkenland, une Suédoise de 31 ans : une biographie du corps malade du désir d’être aimé. Poignant. La mère de l’héroïne du Marteau et l’enclume aurait dû être musicienne. Le piano seul semble lui arracher une ardeur. La mère est sans tendresse pour sa fille. Le père est mort. Cela fait pour l’enfant presque deux absences ; le poids lourd d’une demande qui ne fut pas entendue. C’est devant le cadavre de sa mère que la narratrice trace quelques années de sa vie. Elle revient dans la maison...
septembre 1998
Le Matricule des Anges n°24

Qu’il pleuve

de Francis Dannemark

La Grève des Archéologues

de Francis Dannemark

Dannemark en 2 saisons

Deux courts récits écrits par Francis Dannemark, des instants de vie dans lesquels s’égarent des personnages parvenus au bout d’un cycle. Si le héros de Qu’il pleuve se frotte à la chaleur étouffante d’un été, Françoise cultive tout au long de La Grève des archéologues ses doutes dans le froid vif de l’hiver vénitien. Le fond des êtres se révèle souvent dans les conditions extrêmes et ces données climatiques doivent être mentionnées avec sérieux ; elles rappellent certaines expériences scientifiques pour lesquelles la maîtrise...
septembre 1998
Le Matricule des Anges n°24

Morvern Callar

de Alan Warner

Des raves à la réalité

Entre roman halluciné et réalisme social, un premier livre traduit d’Alan Warner, aussi mal écrit qu’on ne parle. Creux avec quelques trouvailles. La première page du livre décrit un cadavre dans un appartement. Une jeune fille découvre le corps inerte. C’est un peu avant Noël. Le cadavre est celui de son compagnon suicidé. Nous sommes dans un port industriel de Grande-Bretagne, assurément pauvre, bourré de chômeurs, d’emplois mal payés. On y parle mal, avec des phrases pas bien correctes et du coup, le livre se veut aussi mal écrit...
juin 1998
Le Matricule des Anges n°23

Les Locataires d’été

de Charles Simmons

Les je de l’amour

Les émois amoureux d’un adolescent, l’été de ses 15 ans, ou l’art de faire un bon roman, sans grande audace, dans une marmite éculée. C’est pendant l’été de 1968 que je tombai amoureux et que mon père se noya. » Le livre de Charles Simmons abandonne ses ressorts les plus clinquants dès la première ligne et la houle qui d’emblée assaille la plage du cap Bone (où se déroule tout le livre) ne laisse aucune des traces mystérieuses qui augurent des récits à suspense. Les Locataires de l’été est écrit en pleine lumière et nous...
juin 1998
Le Matricule des Anges n°23