auteur Hervé Guibert
Ouvrages chroniqués
Lettres à Eugène
de
Hervé Guibert
,
Eugène Savitzkaya
2013
Qu’il s’agisse de la complicité sensuelle et esthétique qui le lia à Eugène Savitzkaya, ou de l’érotisme latent des cires anatomiques, c’est à cœur et à corps ouverts qu’écrivait Hervé Guibert.
Seule correspondance dont il ait autorisé l’édition, les Lettres à Eugène Savitzkaya mettent fin à la publication des œuvres inédites posthumes d’Hervé Guibert. Un point final qui, tout en fermant la boucle, renvoie à leur entrée respective en littérature. Nous sommes en 1977, Mentir, le premier roman de Savitzkaya vient de sortir. Guibert le lit, l’aime et l’écrit à l’auteur tout en lui envoyant son propre premier livre, La Mort propagande. Ainsi débute une correspondance qui va durer dix ans (1977-1987), entre deux jeunes auteurs, tous deux nés en 1955, et appartenant à cette mouvance...
Vice
de
Hervé Guibert
2013
Qu’il s’agisse de la complicité sensuelle et esthétique qui le lia à Eugène Savitzkaya, ou de l’érotisme latent des cires anatomiques, c’est à cœur et à corps ouverts qu’écrivait Hervé Guibert.
Seule correspondance dont il ait autorisé l’édition, les Lettres à Eugène Savitzkaya mettent fin à la publication des œuvres inédites posthumes d’Hervé Guibert. Un point final qui, tout en fermant la boucle, renvoie à leur entrée respective en littérature. Nous sommes en 1977, Mentir, le premier roman de Savitzkaya vient de sortir. Guibert le lit, l’aime et l’écrit à l’auteur tout en lui envoyant son propre premier livre, La Mort propagande. Ainsi débute une correspondance qui va durer dix ans (1977-1987), entre deux jeunes auteurs, tous deux nés en 1955, et appartenant à cette mouvance...
L' Incognito
de
Hervé Guibert
2021
Hector Lenoir, pensionnaire à l’Académie espagnole à Rome, raconte ses rocambolesque tribulations : réédition d’un détonnant récit d’Hervé Guibert.
J’étais venu écrire l’histoire de ma vie. Je tombais de haut : des murs avec des taches jaunes d’infiltration, le frigidaire qui puait, une misérable armoire en contre-plaqué qui ne fermait plus, une chaise défoncée avec le rotin arraché, du sous-Ikea exténué sur lequel auraient craché les chiffonniers d’Emmaüs » – voilà pour la chambre. Les autres pensionnaires, découverts peu à peu, se révèlent être des dépressifs chroniques ou des génies autoproclamés, guère mieux lotis, certains logeant sur « la passerelle », en proie aux vents et au vertige, d’autres dans des studios encore plus...
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Suzanne et Louise
de
Hervé Guibert
2005
La pudeur ou l’impudeur : tel était le titre de l’unique film d’Hervé Guibert, documentant avec une sincérité cruelle les derniers mois qui allaient le mener à la mort – due au sida. Sans doute l’alternative ainsi formulée fut-elle, d’entrée de jeu, au cœur de sa création, littéraire et photographique. Comment composer avec la réalité la plus intime, comment la découper, la cadrer, la monter, quelles limites apporter à l’exposition de soi et des proches ? Du puissant Mes parents aux derniers livres qui, malheureusement, le mirent sur le devant de la scène comme une sorte de victime...
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Zouc par Zouc : l’entretien avec Hervé Guibert
de
Hervé Guibert
2006
La comédienne est une femme de parole. La réédition d’un entretien avec Hervé Guibert vient enfin rompre un silence trop long.
Depuis près de quinze ans et son apparition dans le film Roi blanc, dame rouge de Sergueï Bodrov, elle avait disparu des scènes et des écrans. Ses disques étaient épuisés. Seule l’INA conservait quelques images. La revoici, Zouc, pour ce Zouc par Zouc publié par L’Arbalète, joué jusqu’à la fin de l’année sur la scène du théâtre du Rond-Point à Paris.
Suisse, Zouc est née, en 1950, Isabelle von Allman, qui veut dire « des pâturages alpestres », comme pour traduire une hauteur et un écart qui la caractérisent en partie. De 1970, quand elle jouait Ionesco mis en scène par Jorge Lavelli, à...