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auteur Vassilis Alexakis

A propos

Athènes sur Seine Venu de Grèce dans les années 60, Vassilis Alexakis voyage entre ses deux pays. Et entre ses deux langues, le romancier écrivant ses livres en français et en grec. Son œuvre pénètre au cœur de l’Histoire intime ou universelle et établit un dialogue avec les morts. Sans se départir d’une tendre ironie. On a une image contradictoire de Vassilis Alexakis. Un homme entre soleil et ombres, entre légèreté et gravité. Du côté de la lumière, il y a cet humour qui a fait les beaux jours de l’émission « Les Papous dans la tête » sur France Culture. Il y a, bien sûr, cet accent dont on se dit que le bonhomme l’entretient tant il ajoute à son charme : « il ne roulait pas les r, mais il traînait les mots, il les prolongeait par une sorte d’écho comme s’il regrettait qu’ils ne fussent pas plus longs » (Avant). On pourrait ajouter que sa voix, dans les bégaiements qui précipitent parfois sa parole,...
juillet 2007
Le Matricule des Anges n°85

Vassilis Alexakis : croquis d’un Grec

La Langue maternelle, le roman le plus grec de Vassilis Alexakis, ressemble à un tableau impressionniste. Sur la toile : une lettre sans signification, une mère disparue, des paysages dans le brouillard. Bref, de l’impalpable, montré de main de maître. C’est en haut d’un immeuble du XVe arrondissement de Paris. Impossible de se tromper de palier : la porte est bleue, d’ « un bleu marine très vif », une couleur que Vassilis Alexakis, comme il le raconte dans son autobiographie, Paris-Athènes, a eu du mal à trouver à Paris où se vendent de préférence des bleus ternes. On sonne. Vassilis Alexakis était en train de travailler à la version...
novembre 1995
Le Matricule des Anges n°14

Ouvrages chroniqués

La Clarinette
de Vassilis Alexakis
2015
La vie et l’œuvre de l’écrivain franco-grec Vassilis Alexakis sont indissociables. Bien malin qui pourrait distinguer la réalité du fictionnel, le souvenir reconstruit du compte rendu précis de l’événement. Quel intérêt d’ailleurs, car les faits s’effacent devant l’urgence de cette longue lettre dialoguée pour un ami disparu : en 2013, l’éditeur Jean-Marc Roberts décède d’un cancer. Vassilis Alexakis poursuit avec lui les discussions qui ne seront plus, réfléchit aussi beaucoup, sur Paris, les Parisiens, le déracinement, l’écriture, la critique, la Grèce antique, la Grèce touchée par la...
Franck Mannoni
juin 2015
Le Matricule des Anges n°164
Je t’oublierai tous les jours
de Vassilis Alexakis
2005
D’une voix douce, Vassilis Alexakis poursuit avec sa mère disparue les conversations d’autrefois. Des nouvelles d’ici et d’ailleurs. Je suis dans ma maison à Tinos et c’est l’été. Je vais pieds nus d’une chambre à l’autre comme si je cherchais quelque chose. » Les phrases sont simples et claires. La première pose l’ambiance, de quiétude et de chaleur. Dans la seconde se glisse l’évocation imperceptible d’un manque. Pieds nus pour ne pas faire de bruit, attentif aux respirations de la maison, le narrateur guette l’apparition d’une fragile présence, à laquelle il s’adresse doucement. Il y a dix ans, Vassilis Alexakis publiait son plus beau texte, La Langue maternelle. Il y évoquait avec pudeur la mort de sa mère,...
Lise Beninca
novembre 2005
Le Matricule des Anges n°68
La Langue maternelle
de Vassilis Alexakis
Dessinateur de presse à Paris, Pavlos, le narrateur, retourne à Athènes sans raison apparente. Perplexe, désœuvré, il observe la ville, ce qui se passe autour de lui. Il laisse son attention s’arrêter sur une question a priori sans conséquence : pourquoi une lettre isolée, l’epsilon, ornait-elle l’entrée du temple d’Apollon où officiait la Pythie de Delphes ? Pavlos se prend au jeu de cette énigme improbable. Il mène une enquête déambulatoire qui l’entraîne dans les rues d’Athènes, aux terrasses des cafés, dans les bibliothèques, chez son frère en province, à Delphes, mais avant tout dans...
Christophe Kantcheff
novembre 1995
Le Matricule des Anges n°14