La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

auteur Véronique Gentil

Ouvrages chroniqués

Le Cœur élémentaire
de Véronique Gentil
2019
Depuis 2007, Véronique Gentil distille des liqueurs douces-amères, âpres et plus ou moins sereines. Absinthes, génépi, armoises, ombellifères… Originaire de Savoie, elle vit dans la Vienne où les paysages, les vallées, les forêts s’impriment à la fois dans ses tableaux et ses poèmes. Si la rencontre d’Henri Michaux l’a orientée vers la peinture, elle écrit depuis l’enfance et a attendu la parution de son premier ouvrage Les Heures creuses (Pierre Mainard) pour exposer ses œuvres peintes. Ses neuf recueils portent des titres sibyllins Dépendances de l’ombre (2008), Les Grands Arbres...
Dominique Aussenac
juillet 2019
Le Matricule des Anges n°205
Les Heures creuses
de Véronique Gentil
2007
Qu’importe le flacon : carnet de voyage, carnet intime, carnet d’esquisses, recueil de poèmes en prose, livre d’heure, l’ivresse est là. Deux textes délivrent leur liqueur d’or, leur liqueur d’os, mortifère et vive. Le premier « Esquisses d’atelier » convoque l’œil, la main, le pied. Véronique Gentil, peintre, nous entraîne sur ses terres de la Vienne, traversées par la Charente. Les paysages se fondent en un mystérieux précipité, victimes d’un étrange et sensuel corps à corps. L’œil les réduit, la main les apaise, le pied les distend. Quelque chose de métabolique s’opère,...
Dominique Aussenac
janvier 2008
Le Matricule des Anges n°89