La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

éditions Fédérop

A propos

Nocturne d'oc Du Limousin à la Gascogne, la langue occitane brave son rapport au monde dans un chant charnel et crépusculaire. L’actualité éditoriale n’a jamais été aussi féconde. Si la Bretagne, le Pays basque ou la Corse ont de tout temps mis en avant l’oralité à travers le chant, les polyphonies, la musique, l’Occitanie (grosso modo, la moitié du territoire français, au-dessous de la Loire) a toujours développé une littérature riche, variée, vivante. Littérature en archipel, selon l’expression de l’écrivain et universitaire Philippe Gardy, où la poésie (que certains qualifient de crépusculaire depuis les troubadours) occupe la part la plus conséquente, mais où roman, théâtre, nouvelles et contes constituent des genres non négligeables. Le provençal Frédéric...
mars 2002
Le Matricule des Anges n°38

Ouvrages chroniqués

Bestiaire II
de Max Rouquette
2005
Si l’un des deux phares de la littérature occitane vient de s’éteindre, la poésie d’oc garde, elle, toute sa vivacité. Anthologies et recueils à l’appui. Voici plus de mille ans que la poésie occitane brûle d’un feu souterrain, bactérien, que l’on dit volontiers crépusculaire. Son plus étonnant paradoxe reste sa richesse, alors que la langue, elle, dépérit chaque jour. « Face à cette absence d’usage courant en société, le poète doit recréer les sons et les rythmes de la parole par le poème », affirme Jean Eygun dans l’anthologie Poésie d’oc au XXe siècle. Pour rendre compte de son évolution, à l’écoute du monde, Jean Eygun propose une lecture en trois temps. « À l’ombre de la Renaissance mistralienne » (le prix Nobel est mort en 1914)...
Dominique Aussenac
juillet 2005
Le Matricule des Anges n°65
La Mer
de Blai Bonet
Né à Santanyi, dans l’île de Majorque, en 1926, Blai Bonet fait partie de cette génération d’écrivains catalans qui assurèrent à leur langue une survie que menaçait la situation politique espagnole : fort parti pris que l’on tenait, aussi, au mépris d’une reconnaissance que traquent certains et qui était, à ce moment, comme empêchée par un tel choix. Fédérop traduit aujourd’hui le grand roman qu’il publia -dans sa version abrégée- en 1958 et écrivit premièrement à la fin des années quarante. La Mer -comme sa poésie- est marqué par les études de séminariste que suivit l’auteur : un roman...
Pierre Hild
mars 2002
Le Matricule des Anges n°38
Poèmes en Prose (bilingue Occitan)
de Max Rouquette
2008
Florilège de publications pour le centenaire Max Rouquette, un des plus grands écrivains occitans du siècle. Max Rouquette est décédé le 24 juin 2005, le jour le plus long de l’année, le jour du solstice d’été, de la Saint Jean, de ses feux, de ses rites de fertilité. Et ce n’est vraisemblablement pas un hasard, tant dans l’œuvre de ce polygraphe, ce poète, le jour et la nuit s’affrontent, resplendissent de mille lumières, vibrionnent de présences invisibles, se déchirent en lambeaux crépusculaires, s’embrasent, ouvrent la porte aux ténèbres intérieures. Né à Argelliers (Hérault), village-amphithéâtre de garrigues, préfigurant le Larzac, il y transposa, mit en scène intime et universel, farce et...
Dominique Aussenac
juillet 2008
Le Matricule des Anges n°95