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RUBRIQUE Arts et lettres

Les articles

Lettres sur la lumière

de Emanuele Coccia , Paolo Roversi
Dans son plus simple appareil À en croire les Lettres sur la lumière qu’échangèrent Paolo Roversi et le philosophe Emanuele Coccia, photographier est un geste poétique qui révèle la présence et rend la réalité éternellement contemporaine. Au commencement, il y a la lumière, celle du soleil qui illumine la Terre, la dessine, la sculpte, ce qui fait dire à Paolo Roversi – l’un des photographes de mode parmi les plus célèbres, mais aussi portraitiste des plus remarquables – que la photographie, en tant que dessin de la lumière, a toujours existé. « Quand, à trois heures de l’après-midi, une face de la pyramide de Khéops est éclairée par le soleil et l’autre non, produisant une ombre pareille à un grand négatif sur le sable, il s’agit déjà d’une photographie. » Il l’écrit dans la première des douze lettres qu’il a échangées...
avril 2024
Le Matricule des Anges n°252

Les Marocains

de Leila Alaoui

Les Marocains de Leila Alaoui

Fauchée, à seulement 33 ans. C’était en 2016 : la photographe et vidéaste franco-marocaine Leila Alaoui était mortellement blessée dans un attentat au Burkina. Elle faisait alors un reportage à Ouagadougou pour le compte d’Amnesty International. Restent ses photos et notamment cette série de portraits réalisés entre 2010 et 2014, intitulée Les Marocains, en lointain écho aux Américains de...
octobre 2018
Le Matricule des Anges n°197

L' Oeil du monde : Images de la fenêtre dans la litérature et la peinture occidentales

de Pascal Dethurens

L’art est une fenêtre

La fenêtre montre, ouvre, signifie et fait littéralement entrer le regard dans l’œuvre. Un art auquel Pascal Dethurens, au fil d’un parcours littéraire et pictural, rend tout son sens. Ouverture sur l’air et la lumière, œil de la maison, la fenêtre, avec son cadre et son appel à la vue, est à l’origine d’une peinture et d’une littérature « où palpite le sensible, où se rapproche le vivant ». Mais, selon ce qu’elle cache ou dévoile du réel, la fenêtre peut devenir un langage que Pascal Dethurens décode et illustre dans L’Œil du monde. « Il m’est impossible de considérer un...
mai 2018
Le Matricule des Anges n°193

Ninfa profunda : Essai sur le drapé-tourmente

de Georges Didi-Huberman

Boucles de vagues

Des tourmentes et des tourments, des rythmes et des métamorphoses doublés de leur mise en œuvre picturale, voila le substrat du style hugolien et de sa poétisation tous azimuts. Au départ il y a, aux environs de 1890, à Florence, le jeune Aby Warburg (1866-1929) faisant une étude sur Botticelli, en rapport avec la « survivance » de l’Antiquité. Une « survivance » dont il va détecter la présence dans la figure mouvante et drapée de la Nymphe – qu’il nomme « Ninfa » –, de la « jeune fille au pas léger », aux cheveux dénoués et à la robe gonflée par le vent. C’est cette...
juillet 2017
Le Matricule des Anges n°185

Tout le miel est fini : Voyages en Sardaigne

de Italo Calvino

Voyages dans le temps

Un carnet de route en forme de portrait d’une terre immémoriale et de ses habitants et une méditation sensible sur l’espace et la durée : voici la Sardaigne de Carlo Levi. Après la Sicile, arpentée à plusieurs reprises au début des années 1950, et qui lui inspira le beau recueil Les Mots sont des pierres (Nous, 2016), Carlo Levi poursuivit son exploration ethnographique, morale et poétique du Mezzogiorno, cet « autre monde » à l’extrême sud de l’Italie : le voilà sillonnant, en mai 1952, les terres de Sardaigne. Et remettant ses pas dans les siens dix ans plus...
mai 2017
Le Matricule des Anges n°183