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RUBRIQUE Entretiens

Les articles

Reus, 2066

de Pablo Martín Sánchez
Accroché à la falaise du Je Avec Reus, 2066, dernier volet d’une trilogie, l’oulipien Pablo Martín Sánchez délivre un carnet intime dystopique plein d’humour et de gravité. L’écriture, la littérature peut-elle nous définir ? Et comment ? En élidant une lettre, fût-elle la plus usitée de la langue française comme dans La Disparition de Georges Perec ? Ou plus simplement (quoique ?) contenir son auteur comme chez Pablo Martín Sánchez ? Après s’être inquiété dans L’Instant décisif (La Contre Allée, 2017) des événements qui ont marqué le jour de sa naissance, être parti à l’assaut de son identité avec L’Anarchiste qui s’appelait comme moi (Zulma & La Contre Allée, 2021), le voici se projetant dans le futur de son lieu de naissance, Reus, ville au sud de la...
avril 2024
Le Matricule des Anges n°252

Bernardo Atxaga : le renard dans la bibliothèque

Héros plus qu’il ne le voudrait de la littérature basque avec Obabakoak, Bernardo Atxaga refuse de devenir un écrivain national. Il appartient à une tradition culturelle, la littérature. Parution de L’Homme seul. Bernardo Atxaga n’en revient pas de pouvoir vivre de la littérature et poutant cet écrivain de quarante-quatre ans a déjà à deux reprises incarné la littérature basque. En 1974, d’abord, avec Etiopia, un recueil de poèmes qui a bouleversé la poésie basque. En 1989, ensuite, avec Obabakoak : Prix national (espagnol) de littérature, Prix de la critique (espagnole) et Prix Euskadi. Pour certains...
septembre 1995
Le Matricule des Anges n°13

L’écart à bout portant

Louis-René des Forêts et Bernard Noël furent les premiers lecteurs attentifs des livres de Nicolas Pesquès. Rencontre avec un poète d’une extrême rigueur… Le regard enfoncé, les arcades saillantes, le visage étroit, effilé, répondant aux questions après un moment de silence, pesant ses mots et essayant d’y faire entrer l’expérience qu’il a de la poésie, c’est à Montrouge, dans un carré de jardin, que Nicolas Pesquès a parlé de son attachement à la colline de Juliau (Ardèche), de son admiration pour Jacques Dupin (Cf. Balises pour J. Dupin,...
septembre 1995
Le Matricule des Anges n°13

Julia O’Foalain, l’expatriée

Inconnue ici, l’Irlandaise Julia O’Faolain publie Gens sans terre, un grand roman salué dans le monde anglo-saxon lors de sa parution en 1980. Vue panoramique sur une société fascinée par son histoire. Née à Dublin en 1932, Julia O’Faolain vit hors d’Irlande. D’Angleterre en Californie, elle écrit sans quitter des yeux sa nation mise à mal par des siècles de pauvreté, des années de guérilla. Avec Gens sans terre, la romancière donne un éclairage nouveau au tableau d’une Irlande résistant à la perfide Albion. Entre les combats nationalistes des années vingt et les récents troubles d’Ulster,...
juin 1995
Le Matricule des Anges n°12

Manuel Vázquez Montalbán entre mémoire et désir

Dans une Espagne qui rêve d’Europe pour oublier ses scandales politiques, Vásquez Montalbán poursuit, plus proche d’un Sciascia que d’un Chandler, sa comédie humaine de la transition démocratique. Livre après livre, influencé par l’importance accordée à la cuisine dans son univers romanesque et par la prolixité polygraphique du Catalan, le lecteur de Manuel Vásquez Montalbán finit par l’imaginer comme un ogre, une sorte d’Orson Welles. Contre toute attente, Vásquez Montalbán est un petit homme qui a le sens de la mesure. Il est sûr de lui. On le sent capable de parler de tout. Rien ne...
juin 1995
Le Matricule des Anges n°12

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