auteur Charles Duits
Ouvrages chroniqués
Liste alphabétique des titres
La Seule Femme vraiment noire
de
Charles Duits
2016
Lmda N°177
Charles Duits relaie la parole d’une entité divine à la peau noire, dans un livre qui tient d’un château de cartes dont toutes les cartes sont des châteaux.
La lecture de Charles Duits (1925-1991) est une illumination ou n’est rien, écrivait-on dans ces colonnes en rendant compte du Pays de l’éclairement et de La Conscience démonique (Le Bois d’Orion, 1994). Une assertion dont le bien-fondé se vérifie à chaque page de La Seule Femme vraiment noire, un ouvrage inédit dont on ne connaissait que des extraits et auquel il travailla dix ans.
Né à...
Exaltation de la femme
octobre 2016
La Salive de l’éléphant
de
Charles Duits
1999
Lmda N°29
Après la réédition d’une grande partie de l’œuvre de Charles Duits au Bois d’Orion (voir Lmda N°8 et 11), deux romans publiés dans les années 70 par Éric Losfeld viennent compléter la nécessaire sortie de l’ombre d’un auteur mort en 1991 dans une relative indifférence.
Expérience du peyotl (cactus aux vertus hallucinogènes), goût pour l’égarement, le voyant qu’était Charles Duits pousse ici...
Retour aux corps
janvier 2000
La Salive de l’éléphant
de
Charles Duits
1999
Lmda N°29
Ce texte occupe une place à part dans l’automne littéraire dernier. Jacques Lederer livre un premier roman social, lui donnant une usine aéronautique en grève pour cadre et le syndicalisme pour univers. Dans sa quatrième de couverture, l’éditeur mesure la valeur du texte à son absence d’actualité, à sa volonté d’arpenter un « lieu peu fréquenté par les lettres actuelles ».
Gérard,...
La Nuit où Gérard retourna sa veste
janvier 2000
Le Pays de l’éclairement
de
Charles Duits
1994
Lmda N°8
Encensé par Breton, ignoré de ses contemporains, Charles Duits a plongé dans les gouffres de la connaissance pour en ramener une lumière éblouissante. Dérangeante, son oeuvre redevient enfin disponible.
Le Peyotl a donné un but à mon existence. » C’est en 1956 que Charles Duits prend pour la première fois ces boutons de cactus qui permettent aux indiens du Mexique d’accéder à la conscience des dieux. Mais que l’on ne se méprenne pas ; le poète était « voyant » avant l’absorption de toute substance. La longue note biographique qui ouvre le numéro de la revue Question de est explicite. Signée...
La révélation Duits
avril 1994
La Conscience démonique
de
Charles Duits
1994
Lmda N°8
Encensé par Breton, ignoré de ses contemporains, Charles Duits a plongé dans les gouffres de la connaissance pour en ramener une lumière éblouissante. Dérangeante, son oeuvre redevient enfin disponible.
Le Peyotl a donné un but à mon existence. » C’est en 1956 que Charles Duits prend pour la première fois ces boutons de cactus qui permettent aux indiens du Mexique d’accéder à la conscience des dieux. Mais que l’on ne se méprenne pas ; le poète était « voyant » avant l’absorption de toute substance. La longue note biographique qui ouvre le numéro de la revue Question de est explicite. Signée...
La révélation Duits
avril 1994
Question de N° 95
de
Charles Duits
Lmda N°8
Encensé par Breton, ignoré de ses contemporains, Charles Duits a plongé dans les gouffres de la connaissance pour en ramener une lumière éblouissante. Dérangeante, son oeuvre redevient enfin disponible.
Le Peyotl a donné un but à mon existence. » C’est en 1956 que Charles Duits prend pour la première fois ces boutons de cactus qui permettent aux indiens du Mexique d’accéder à la conscience des dieux. Mais que l’on ne se méprenne pas ; le poète était « voyant » avant l’absorption de toute substance. La longue note biographique qui ouvre le numéro de la revue Question de est explicite. Signée...
La révélation Duits
avril 1994
La Vie le fard de Dieu
de
Charles Duits
Lmda N°11
Poursuite par Le Bois d’Orion de l’exhumation de l’oeuvre de Charles Duits, poète et voyant, qui durant quatre ans a tenu un journal d’une rare exigence.
Après La Conscience démonique et Le Pays de l’éclairement (cf MdA N°8), Le Bois d’Orion livre pour la première fois l’intégralité du journal de Charles Duits, poète encensé par Breton, mort en 1991.
Comme tous les journaux, La Vie le fard de Dieu oscille entre la rigueur d’un projet d’écriture et la tentation de préserver la mémoire du quotidien. Ces quatre années, de 1968 à 1971, montrent...
De la lumière à la pénom
mars 1995