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auteur Éric Pessan

A propos

Pas un jour sans une ligne Lecteur boulimique né dans un milieu où on ne lisait pas, Éric Pessan s’est lancé dans l’écriture comme si la fréquentation des mots lui était aussi vitale que l’air qu’il respire. Sans limite de genres ou d’horizons. Le siècle était officiellement pour quelques mois encore le vingtième. À La Baule, cet été-là, Éric Pessan n’était pas l’un des auteurs invités du festival Écrivains en bord de mer. Et pour cause : il n’avait encore rien publié. Mais le jeune homme, crâne dégarni, sourire timide, devait déjà y arborer un de ces t-shirts dont il se fera une spécialité : graphique et drôle, probablement. Il avait aussi un micro qu’il tendait à tous les invités d’alors pour les faire parler de leurs livres, de l’écriture, de l’édition. C’est là qu’on l’a rencontré la première fois, journaliste pour Jet FM,...
mai 2019
Le Matricule des Anges n°203

Liberté tous azimuts

La littérature chevillée au corps, Éric Pessan s’affranchit en écrivant et libère, par la même occasion, l’écriture de tous ses carcans. Le mélange des genres conduit à un espace où vivre. Il était chez lui et le lendemain à Lisieux, puis à Paris et le jour d’après à Nantes… La vie d’Éric Pessan se passant beaucoup dans les trains, on était convenu que l’entretien suivrait ses déplacements. Qu’il se déroulerait donc par envois successifs de courriers électroniques auxquels l’écrivain a répondu très vite, comme si l’urgence qu’il avait à publier était aussi une urgence à vivre....
mai 2019
Le Matricule des Anges n°203

Le livre des questions

Face aux surgissements de la violence, de la bêtise et du racisme, qu’est-ce que la littérature peut dire ? Dans un monde qui nie toujours plus ses valeurs, comment l’écrivain doit-il réagir ? Récits de l’inconfort. C’est à hauteur d’homme qu’Éric Pessan ici pose les questions auxquelles chacun, probablement, est un jour confronté. Pour peu que ce chacun-là ne vote pas pour le Rassemblement national, ne préconise pas la peine de mort à tout va sauf pour les embryons, n’appelle pas au massacre des homosexuels ou au voile obligatoire pour les filles. Les questions traduisent de l’impuissance (quoi...
mai 2019
Le Matricule des Anges n°203

Ouvrages chroniqués

Tout doit disparaître
de Éric Pessan
2010
Éric Pessan est l’auteur de romans, de fictions radiophoniques, de pièces de théâtre et de textes écrit en compagnie de plasticiens. à l’automne 2007, en réaction à la politique française d’immigration, il a codirigé en compagnie de Nicole Caligaris un ouvrage collectif Il me sera difficile de venir te voir (éditions Vents d’ailleurs), présentant treize correspondances littéraires entre des auteurs d’origine et d’horizons différents. Ce qui est très troublant à la lecture de Tout doit disparaître, c’est l’écho que trouve cette pièce dans notre actualité. Premier jour des soldes à...
Laurence Cazaux
novembre 2010
Le Matricule des Anges n°118
La Hante
de Patricia Cartereau , Éric Pessan
2015
En s’intéressant à la chasse, autrement dit à la place dévolue au sauvage dans notre société, Éric Pessan montre la prégnance de ce qui ne vaut que d’échapper. Relation archaïque à de l’archaïque, la chasse relève de la poursuite de la vie jusque dans la mort. Fondée sur le versement du sang, elle a longtemps fait partie – avec la guerre – de ces données de la vie immédiate qui caractérisent le Réel. Si cette vieille relation à la nature paraît difficilement admissible dans les univers urbains d’aujourd’hui – pour lesquels la nature est tout au plus un décor –, elle perdure cependant sous la forme de l’appel du Sauvage et de tout ce qui, chez l’homme, relève de l’animalité : la peur, la survie, la force brutale, la ruse, la rivalité… C’est...
Richard Blin
février 2016
Le Matricule des Anges n°170
Chambre avec gisant
de Éric Pessan
2002
La position horizontale, celle du mort et du malade, on ne la choisit pas. Un père de famille l’adopte un jour pourtant. Il s’étend sur son lit et décide de ne plus se relever. À mesure que les jours passent, l’homme couché s’enfonce en lui-même et ne fait bientôt plus la différence entre les vivants et les spectres. Sa mémoire affleure progressivement, l’explore et le retourne, car la mémoire est forcément implacable. « Le sang est un fluide recyclable. La mémoire, elle, niche, s’accroche. Elle ne peut se purger, se filtrer. Pas de dialyse pour l’esprit. Elle plonge ses racines dans les...
Benoît Broyart
novembre 2002
Le Matricule des Anges n°41