La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

La rédaction Emmanuel Laugier

Message Envoyer un message

Emmanuel Laugier

Articles

Recueil collectif de recettes d’hiver

de Louise Glück

L' Iris sauvage / Meadowlands / Averno

de Louise Glück
Tout est à ramasser, à sentir Louise Glück, que le prix Nobel de littérature couronna en 2020, laisse des livres dont les expériences cellulaires indiquent l’éclosion de toutes choses. Dès ses premiers livres jusqu’à Ararat (1990), encore inédit en français, qui précède de deux ans le livre qui la fera connaître (L’Iris sauvage, prix Pulitzer), on sent chez Louise Glück (née à New York et issue d’une famille juive hongroise) une façon tout à elle de camper les scènes, ouvertes et énigmatiques, de chacun de ses poèmes. À l’exemple de l’un d’entre eux, où la narratrice évoque sa propre absence : « Je ne me vois jamais, debout sur le perron, tenant la main de ma sœur./C’est pourquoi je ne peux pas expliquer/les bleus sur son bras, à l’endroit où la manche se termine »...
mars 2024
Le Matricule des Anges n°251

Le Laminoir

de Jean-Pierre Martin

Le Piano d’Epictète

de Jean-Pierre Martin

C’qu’on est peu d’chose

Avec Le Laminoir, son premier roman, et Le Piano d’Epictète Jean-Pierre Martin entend retrouver une littérature ancrée dans le bruissement quotidien du monde. Les lecteurs de Michaux se souviendront sans doute du nom de Jean-Pierre Martin (né en 1948), puisque José Corti publia de lui l’année passée un important essai (cf. MdA N°7) sur l’auteur de La Nuit remue. D’autres, fidèles à La N.R.F., auront découvert sous l’essayiste, professeur de lettres à Lyon, l’écrivain, puisque c’est dans ses pages que parurent différentes partie du Piano d’Epictète....
mars 1995
Le Matricule des Anges n°11

Jours le jour

de Michelle Grangaud

Jours le jour (Chronique)

Les livres de Michèle Grangaud, Mémento-fragments, Stations, Gestes et Renaîtres, portent les sous-titres d’anagrammes et de narrations. Il faut entendre par ces noms une méthode d’écriture contraignante, affirmée comme la recherche d’une poétique. Jours le jour, publié sous le terme de Chronique, en est la continuation et l’élargissement. Aussi, le labyrinthe de Paris qui va hanter le...
mars 1995
Le Matricule des Anges n°11

Tu m’entends ?

de Patrick Renou

Tu m’entends

Patrick Renou, auteur d’un premier récit, déploie dans Tu m’entends une prose précise, nette et répétitive, l’histoire crue de l’échec d’une vie. Ces pages décrivent les effondrements et les heurts auxquels un gamin de dix ans, témoin de la mort de son père, n’échappera pas, allant jusqu’à les porter comme son dû de douleur, cloisonnant sa vie autour d’un centre innommable, immobile et...
mars 1995
Le Matricule des Anges n°11

Les mots menus d’Antoine Emaz

Minimale, sèche, saillante et rase, la poésie d’Antoine Emaz dit ce qui passe entre le dehors et ce qui nous est intérieur. Les mots d’Entre, son dernier recueil, en sont les traces serrées. Sec, le carré bleu de Gauloises dans la main, venu d’Angers où il vit pour nous rencontrer chez son éditeur, Antoine Emaz (né en 1955), la voix hésitante ou mal assurée, a accepté cet entretien, sachant que dire ou approcher le pourquoi ou le comment du poème (sa cuisine) est toujours un exercice voué à l’échec. Antoine Emaz parla donc de ce mot de poésie, mot qui l’aimante, le creuse, chaque...
mars 1995
Le Matricule des Anges n°11