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La rédaction Richard Blin

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Articles

On ne badine pas avec

de Jules Vipaldo
Quand l'oreille écrit Aventurier du calembour, explorateur de l’à-peu-près et grand jouisseur de mots, Jules Vipaldo conjugue le plaisir textuel à la jubilation de « l’ouïssance ». Le résultat est un livre érotico-poético-déconnant. À tous ceux qui pensent que la littérature, l’écriture, c’est toujours sérieux, les lignes qui suivent ne sauraient convenir. Elles s’adressent plutôt à ceux qui, dans la lignée du Rimbaud aimant les peintures idiotes, les enluminures populaires, les livres érotiques sans orthographe et les refrains niais, ont parfois besoin d’être détournés de certaines habitudes du sens, ont besoin de fuir l’univocité et la clarté signifiante, de retrouver un peu de l’étonnement premier face à la présence nue des mots – leur forme, leur figure, leur matière – et de renouer avec le plaisir des yeux et de...
mars 2024
Le Matricule des Anges n°251

Hans Bellmer, anatomie du désir

de Collectif

Les vertiges Bellmer

Peintre, poète, photographe et sculpteur surréaliste, d’origine allemande, Hans Bellmer (1902-1975) est avant tout un maître du vertige érotique, le père de la célèbre « Poupée » (1934) et l’auteur de centaines de dessins dont la précision du trait et le raffinement des détails relèvent de la grande tradition du dessin allemand. C’est à cette œuvre que le Centre Pompidou consacre...
mai 2006
Le Matricule des Anges n°73

Gustave Roud, une solitude dans les saisons

de Gérard Titus-Carmel

Le temps d’innocence

Homme de désir plus que d’étreinte, poète des errances fauves et de la quête de l’improbable, Gustave Roud (1897-1976) incarne l’inscription de la poésie dans l’existence. Une œuvre que Gérard Titus-Carmel résume, magnifiquement, ainsi : « L’attente toujours ; la lumière inondante ; le Paradis entrevu ; la solitude profonde, inentamable, sous l’immense couleur bleue du ciel sans fond, dans...
avril 2006
Le Matricule des Anges n°72

Écrire dans le noir

de Benoît Conort

Écrire la poésie

Entre silence et ignorance, déploration et exaltation, Benoît Conort erre dans le noir, à la recherche du vrai visage de la poésie. Après le cycle formé par Pour une île à venir, Au-delà des cercles (Gallimard, 1988 et 1992) et Main de nuit (Champ Vallon, 1998), et après Cette vie est la nôtre (Champ Vallon), Benoît Conort (né en 1956), se propose, avec ce nouveau livre, non pas d’écrire de la poésie, mais d’écrire la poésie, de s’approcher de ce qui la rend si nécessaire, de ce qui la fait être, continuer à être, malgré...
avril 2006
Le Matricule des Anges n°72

La Noix d’or

de Cristina Campo

Lettres à Mita

de Cristina Campo

Belinda et le monstre : vie secrète de Cristina Campo

de Cristina de Stefano

Messagère de l’absolu

Profondément inactuelle, vouée à aimer tout ce que l’homme a aujourd’hui déserté, Cristina Campo (1923-1977) est l’auteur d’une œuvre concise, secrète et comme illuminée par la musique d’une grâce intérieure. Elle trouvait auprès de ses chats une « source d’énergie naturelle », aurait voulu être une novice du désert, façon Charles de Foucauld, reprochait à Simone de Beauvoir son manque d’intelligence, et estimait qu’il fallait tout vivre à fond. Personnalité contradictoire, capable de descendre, au cœur de Rome, un escalier au volant de sa Fiat 600, comme de s’intéresser aux mystérieuses identités...
avril 2006
Le Matricule des Anges n°72