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Les articles

Famille de Pascal Duarte

de Camilo José Cela
De Charybde en Scylla Dans son premier roman, l’Espagnol Camilo-José Cela (1916-2002) fait le portrait d’un homme dont le malheur est le seul chemin. Un père brutal et alcoolique, ayant fait un séjour en prison pour contrebande (il sera mordu par un chien enragé avant de mourir dans d’atroces souffrances), une mère violente et ivrogne elle aussi (que son fils se souviendra avoir vue se laver une seule fois), une sœur prostituée, un jeune frère dégénéré (à qui un cochon arrache un jour les deux oreilles et qui se noie dans une bassine d’huile)… Bienvenue dans l’univers de La Famille de Pascal Duarte, qui inaugurait en Espagne, lors de sa parution en 1942, le courant esthétique du tremendisme, caractérisé par la succession de scènes...
mars 2024
Le Matricule des Anges n°251

L' Accusé

de Emmanuel Robin

Chronique d’une déchéance

La course à l’abîme et les inconséquences d’un adolescent dans un no man’s land de province. Entre autodestruction et déréliction. 1929. Même si les ragtime font encore danser, les années folles agonisent. Dans quelques mois, le jeudi noir d’octobre aura endeuillé l’économie mondiale. Pendant ce temps, un jury, composé entre autres de Mauriac, Bernanos, Giraudoux, Maurois et Green, décerne à l’unanimité un prix nouvellement créé : celui du premier roman. Son lauréat est Emmanuel Robin, un jeune écrivain qui courtise la...
novembre 2003
Le Matricule des Anges n°48

Lignes de coke

Descente dans l’enfer de la drogue avec l’unique roman d’un écrivain inconnu. L’histoire d’une déchéance, racontée sans complaisance. L’histoire littéraire aime les écrivains entourés de légendes et de mystères. Quand elle en tient un, elle le dorlote. Voyez ce qu’il advint d’un Baudelaire ; mieux encore : d’un Isidore Ducasse, dont elle a fait une sorte de mythe. Mais peut-être lui manquait-il un romancier qui fût à lui seul une énigme. Qu’elle se rassure : elle aura M. Aguéev. On ne sait quasiment rien de l’auteur russe...
octobre 2003
Le Matricule des Anges n°47

Pons à l’âge de pierre

Gel, pluie, froideur extrême et pourriture : portrait de l’homme en animal, traînant dans la boue sa détresse et son horreur. Saisissant. Après de vagues études de philosophie, rapidement abandonnées, Maurice Pons, né en 1927, publie un roman insolent inspiré de Stendhal, Métrobate (1951), puis un recueil de nouvelles (Les Virginales, 1955), qui a le double mérite de déplaire à François Mauriac, ce qui le met aussitôt à la mode, et de servir de base à Truffaut pour le scénario de Les Mistons. En 1957, il se retire au Moulin...
septembre 2003
Le Matricule des Anges n°46

Dhôtel de charme

Roman d’apprentissage, Lumineux rentre chez lui raconte l’errance d’un homme qui se cherche, dans une quête existentielle qui l’entraînera au bout de soi. Une rêverie délicate. Il est des écrivains qu’on lit durant l’enfance et dont on abandonne aussitôt la lecture, les croyant uniquement destinés à la jeunesse. André Dhôtel est de ceux-là. Qui n’a lu, au cours de ses années de collège, dans la foulée d’un Jack London ou du Grand Meaulnes d’Alain Fournier, Le Pays où l’on n’arrive jamais, ce petit roman délicieux qui lui valut un Fémina en 1955 ? En rééditant, à la...
juillet 2003
Le Matricule des Anges n°45