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septembre 2008 | Le Matricule des Anges n°96

Un libraire à part
Juste un petit mot pour vous remercier pour la double page consacrée à la librairie Préférences dans le dernier numéro. Je l’avais découverte par hasard lors d’un passage à Tulle il y a quelques années, et j’ai pensé qu’une librairie pareille, dans un coin pareil, méritait tous les éloges… J’ai donc été ravie de lire l’interview du propriétaire des lieux dans votre Matricule. Ça regonfle le cœur, des bonshommes comme ça !
Agnès (Nantes)

Un libraire à part (bis)
Merci pour le bel article sur Pierre Landry, libraire à Tulle. Je l’ai d’abord connu dans la petite rue médiévale près de la cathédrale et ne manquais pas d’y passer lors de mes brefs séjours tullistes. Puis il a acheté la vieille mercerie face au parvis de la cathédrale et sous l’égide gracquienne de Préférences, il accueille, conseille, suggère, guide, partage outre le thé, le vin ou le café ses passions de lecteur et son talent d’humanité. (…) Et puis merci globalement au Matricule des anges de m’ouvrir régulièrement des fenêtres littéraires.
Mireille Diaz-Florian

Pas le genre
Matricule, pourquoi on voit jamais la tête de tes rédactrices et (surtout) rédacteurs ? Peut-être qu’ils sont beaux. Et que je râle encore : presque jamais vous ne parlez des éditeurs et libraires spécialisés dans la littérature gay et lesbienne… Hé ho les anges : seriez pas un peu hétéro-plouc ?
Animal Lecteur

Quelle révolution ?

Un spectre hante le monde de la littérature, comme aurait pu l’écrire un illustre barbu du siècle avant-dernier. (…) Un spectre high-tech prêt à porter l’estocade au vieux Gutenberg, après avoir sévi du côté de chez Pathé et Marconi. Car oui, la numérisation de toutes les formes d’expression et de conservation inclut celle des livres. (…). Oui, mais les livres, quand même, c’est autre chose… Le grain du papier, la reliure, l’odeur (ah, l’odeur des livres !), le compagnonnage de tous les volumes qui ont peuplé nos années, nos étagères encombrées, empoussiérées, mais que nous n’osons pas alléger, nos « Pléiade », nos « Minuit », nos « NRF » délavées… Sera-t-il un jour possible de numériser ce qu’ils représentent pour nous ? Pourrons-nous, nous autres vieux papivores, lire (au sens noble et ancestral du terme) des livres sur des écrans de
« e-books », dont on nous promet qu’ils seront confortables et diablement interactifs ? Qu’en sera-t-il des néo-lecteurs, ces gamins qui grandissent devant des écrans ? Les librairies ne seront-elles pas tentées de résoudre leurs coûteux problèmes de stockage et d’expédition en se tournant vers ces nouvelles technologies ? Et les maisons d’édition, quels choix feront-elles, elles qui paraît-il se préparent activement à cette révolution numérique ? L’inflation éditoriale ne risque-t-elle pas d’atteindre de nouveaux records ? (…)
Le Matricule des anges a sûrement aussi son mot à dire là-dessus. Il pourrait donner la parole à ceux qui réfléchissent à ces questions qui, quoi qu’on en pense, seront cruciales pour l’avenir sinon de la littérature, du moins du livre dans les formes que nous lui connaissons. En attendant, voici deux liens, parmi la pléthore disponible : le premier, vers le blog d’un libraire qui relate son expérience estivale avec un « e-book » ; le second, vers un site de l’Éducation nationale qui propose un panorama des connaissances relatives au livre électronique.
http://livres.blogs.liberation.fr/livres/2008/ 07/je-viens-de-rec.html
http://www.educnet.education.fr/dossier/livrelec/default.htm
Damien (Vitrolles)

Respect
Fidèle lecteur du Matricule (combien d’années déjà ?), je me permets de bouillir ici un peu. C’est certes bien d’être éclectique, et c’est prudent de n’avoir pas de ligne trop franche : il n’empêche qu’à force de ne rien défendre en particulier, vous vous imprégnez complaisamment de certaines béances contemporaines. À ce jeu bien mou, la palme revient à vos chroniques d’écrivains (Holder, Serena, Fabre). L’un parle de ses voisins, l’autre de ses copines, l’autre de ses voisins : ça palpite d’intimité menue et affectueuse, avec il est vrai quelques aphorismes de choix, comme dans ce numéro de juillet : « On a toujours besoin d’un petit miracle », « Le respect mutuel est décidément une condition de la liberté »… Bon courage quand même : on ne peut pas vous demander d’inventer des écrivains qui pensent (…).
Jean-Pierre Ligeois (Var)
Ndlr : Proust aussi écrivait sur ses voisins.

Oubli ?
Puisque vous êtes basés à Montpellier, je m’étonne de ne pas voir figurer dans votre agenda de juillet le festival de poésie de Lodève, festival épatant en tous points. Avez-vous des services à rendre à M. Frêche, le peu qualifiable, et à ses amis - dont la dame qui s’est fait élire à Lodève en arguant du coût trop élevé pour la ville - privée bien sûr de toute aide de la frêchoise région - du festival et du musée Fleury ? Le festival a finalement eu lieu presque aussi gaiement que d’habitude même si l’attitude de cette gauche qui milite contre la culture laisse une amertume qui ne passera pas.
M. Cuzin (Paris)
Ndlr : Nous avons reçu le programme du festival « Voix de la Méditerranée » trop tardivement, ce qui explique son absence. La Ville de Lodève et la Région Languedoc-Roussillon étaient bien partenaires de cette édition 2008, cette dernière allouant, comme les éditions précédentes, une subvention de 50 000 e. Mais vous avez raison de rester vigilant sur l’engagement des collectivités territoriales, qu’elles soient dirigées par la gauche ou la droite.

En disant en écrivant
Le Matricule des Anges n°96 , septembre 2008.
LMDA papier n°96
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