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RUBRIQUE Égarés, oubliés

Les articles

Dubalu

de Bernard Waller
Du voyage en train Plein de mystères encore, Bernard Waller était le plus discret des romanciers. Dubalu, son représentant de commerce, révèle avec humour et subtilité un univers de personnages désarçonnés et touchants. Il faut souvent plus qu’un miracle pour que les créatrices et créateurs qui ont choisi la discrétion contre les feux de la rampe sortent de l’ombre. Le romancier Bernard Waller en est la démonstration achevée. Au point qu’on ignorerait presque sa date de naissance. Selon les sources observées, il serait né en 1933, en 1934 et en 1937, et apparemment ce serait plutôt en 1935. Et puis la camarde s’est chargée de mettre tout le monde d’accord. Il est bel et bien mort en 2010 (le 13 juin à Paris ?). Naturlich, aucune nécrologie publiée dans Le Monde ou Le Figaro. On n’y a droit que lorsqu’on...
mars 2024
Le Matricule des Anges n°251

Le rag, le stomp et Gaston Criel

Poète et romancier féru de jazz et de p’tites pépées, Gaston Criel a vécu cent métiers. Ses livres inclassables et beaux n’attendent que d’être réédités. C’est pour le souvenir de Noël Arnaud, écrivait Gaston Criel en préambule de Saint-Germain-des-Prés. Les décombres (Rewidiage, 1995), et par la même occasion à l’ombre de bien d’autres, que nous allons parler du Moyen Âge ». Du Moyen Âge, vraiment ? Cet âge enfoui pas si lointain, c’est pour Criel celui de l’épanouissement de Saint-Germain-des-Prés, celui de l’insouciance et du jazz : be-bop,...
février 2006
Le Matricule des Anges n°70

Le premier témoin

Familier des rues new-yorkaises, Daniel Mauroc, écrivain et revuiste, y a fréquenté le gratin de la génération Beat et offert aux lecteurs francophones quelques livres-cultes. Il a tant de souvenirs qu’ils se mêlent, et lorsqu’il donne une date, ce n’est jamais sans incertitude. Il faut recourir aux achevés d’imprimer pour établir un millésime et garantir un minimum de vraisemblance à un parcours qui part en fumée. Un portrait d’étincelles et de foudres pourtant car Daniel Mauroc, qui regrette peu de n’avoir jamais tenu le journal de ses rencontres, a été un...
novembre 2005
Le Matricule des Anges n°68

Le chemineau Merino

Trimardeur autodidacte et boxeur, Bienvenu Merino a pondu en 1976 un court texte qui choqua et ne serait sans doute pas plus admissible aujourd’hui. Démonstration. On lui a dit et répété qu’il ressemblait à Régis Debray mais sa moustache lui donne encore des airs de Paulo Conte. Et il en a la douceur, apparemment. Pourtant, Bienvenu Merino est entré en littérature il y a maintenant trente ans dans un registre plutôt pétulant, pour ne pas dire pétaradant. Fils de républicains espagnols son père, analphabète, est membre du POUM, ces anarchistes brûleurs...
octobre 2005
Le Matricule des Anges n°67

Le sourire qui mord

Polémiste redoutable et humoriste monté sur ressort, Edmond About (1828-1885) a laissé quelques classiques souvent réédités, mais aussi vite négligés, au grand dam de ses lecteurs. Avec ses faux airs d’Hugo, c’est un homme assis qu’About. Au sommet de sa carrière, il est arrivé et, franchement, nul ne pourra lui reprocher de n’avoir pas beaucoup donné. D’autant qu’il a bien reçu… La société, si aisément effarouchée, lui fit tôt payer son style et son effronterie. Il était, il est vrai, capable de confier à un critique en lui adressant son livre : « Parlez-en, mais ne le...
septembre 2005
Le Matricule des Anges n°66

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