La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

Poésie Peintures

décembre 1996 | Le Matricule des Anges n°18 | par Marc Blanchet

Collaborateur de la revue Le Nouveau Recueil, François Trémolières publie ici son premier livre de poésie. Cet ouvrage témoigne d’une inspiration très visuelle à travers quatre parties : Portraits, Paysages, Légendes et Scènes d’histoire, évocations de figures connues (Paolo Conte, Schéhadé, Borges…), souvenirs d’instants et de lieux. Son défaut est de regrouper des poèmes à la rédaction espacée dans le temps qui ne supportent pas la confrontation. Ainsi, la première partie Portraits se voit reléguée loin derrière Scènes d’histoire où Trémolières culmine avec une cohérence et, tout simplement, un sens de la beauté qui font beaucoup espérer de lui. Le poème Le Martyre de Saint-Sébastien n’use pas d’un goût de l’amitié artistique ou d’un humour peu original dont sont victimes d’autres textes : « sans le vouloir j’ai surpris des intrigues/ je fus le témoin du meurtre et de l’assomption/ toutes sortes de visages venus comme des paroles/ l’un après l’autre dans mon âme/ sous l’immobilité de marbre de la lumière/ la face vers le ciel qui ressemble à la mer/ j’écoute mon cœur étonné de battre. »

Le Temps qu’il fait
50 pages, 60 FF

Peintures Par Marc Blanchet
Le Matricule des Anges n°18 , décembre 1996.