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La rédaction Martine Laval

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Martine Laval

Articles

Chiennes de garde

de Dahlia de la Cerda
Ni dieu, ni mec Avec ses Chiennes de garde, Dahlia de la Cerda en met plein la vue – et même la gueule. Petit traité de féminisme et de survie dans la jungle mexicaine d’aujourd’hui. Gare à celui qui osera encore dire que les filles sont des mauviettes ou des salopes, qu’elles n’ont que ce qu’elles méritent, à savoir coups, humiliations, viols. C’est fini. L’heure est à la relève sinon à la révolution. Dahlia de la Cerda brandit une littérature d’un genre nouveau, combine des mixes plutôt contraires : des coups de poing et de la tendresse, un parler populaire, vulgaire, bruissant tout chaud du macadam et une finesse d’esprit à faire crever de jalousie nos piètres penseurs. Les onze nouvelles de son recueil Chiennes de garde composent une sorte de roman, puisque les...
mars 2024
Le Matricule des Anges n°251

Ouvre les yeux

de Matteo Righetto

Vertige (de l’amour)

L’écrivain italien Matteo Righetto chamboule la narration et les histoires d’amour, même celles qui finissent mal en général. Dans les années quatre-vingt, on faisait semblant d’être heureux, on chantait sans illusions mais avec ardeur Les histoires d’amour finissent mal en général. Un tube électrique, obsessionnel, et radical : exit, déjà, l’espoir. Ces années-là, selon Matteo Righetto, « promettaient un avenir sans surprise : aisance matérielle, vie facile ». Le bonheur était évident, normal. Chimères. Au...
février 2017
Le Matricule des Anges n°180

Dans la forêt

de Jean Hegland

Des arbres à abattre

Entre réalisme et anticipation, l’écrivaine Américaine oblige deux adolescentes à renoncer au monde pour mieux l’inventer. Électrochoc. Nous ne sommes pas chrétiens, nous sommes capitalistes. Tout le monde dans ce pays de branleurs est capitaliste.  » Au pays de ces branleurs – l’Amérique – une seule solution, l’évasion ou la fuite. Il suffit d’accepter quelques compromis, savoir vivre de peu, jouir de la solitude, et voilà le bonheur. Dans la famille imaginée par Jean Hegland, c’est le père qui ordonne pour le bien commun de...
janvier 2017
Le Matricule des Anges n°179

Hommes en habit de lumière

Leur amitié va traverser l’Histoire. L’un est un écrivain connu, c’est Vaclav Havel. L’autre est un jeune cheminot. Il se nomme Tomas Kusar. Un tendre, Un taiseux, comme sait les faire vivre Antoine Choplin. Éblouissant. Tomas Kusar regarde passer les trains de marchandises, il aime ça, surtout celui de Kudowa, le 22h09 : « Les wagons sont bourrés de minerai, pour peu qu’il y est un peu de lune, ça produit des sortes de scintillements…  » Tomas est cheminot à la gare de Trutnov, c’est à une centaine de kilomètres de Prague. Tomas est un jeune gars, il mène une vie simple, et même si le boulot est dur, très...
janvier 2017
Le Matricule des Anges n°179

Le Cimetière englouti

de Goran Tribuson

Jeux de mémoire

Aux confins du réel, l’écrivain croate se lance à la recherche du temps perdu. Et signe avec son Cimetière englouti un roman facétieux et revigorant. Mis à part son traducteur (Alain Cappon), son éditeur (Serge Safran), ses concitoyens et lecteurs de Croatie, Goran Tribuson est à ce jour (à ce jour seulement, espérons-le) un bel inconnu. Le Cimetière englouti (en passant, un titre de rêve pour âme mélancolique) est la première des œuvres de cet écrivain prolixe en son pays à être traduite. Que nous raconte Goran Tribuson, lui qui n’hésite...
novembre 2016
Le Matricule des Anges n°178