La lettre de diffusion

Votre panier

Le panier est vide.

Nous contacter

Le Matricule des Anges
ZA Loup à Loup 83570 Cotignac
tel ‭04 94 80 99 64‬
lmda@lmda.net

Connectez-vous avec les anges

Vous n'êtes actuellement pas identifié. Pour pouvoir commander un numéro, un abonnement ou bien profiter, en tant qu'abonné, des archives en ligne, vous devez vous connecter avec votre compte.

Retrouver un compte

Vous avez un compte mais vous ne souvenez plus du mot de passe ? Vous êtes abonné-e mais vous vous connectez pour la première fois ? Vous avez déjà créé un compte, peut-être, vous ne savez plus trop ?

Créer un nouveau compte

Vous inscrire sur ce site Identifiants personnels

Indiquez ici votre nom et votre adresse email. Votre identifiant personnel vous parviendra rapidement, par courrier électronique.

Informations personnelles

Pas encore de compte?
Soyez un ange, abonnez-vous!

Vous ne savez pas comment vous connecter?

RUBRIQUE Zoom
Proses

Les articles

Quinze minutes sur le ring. Sur les traces d’une action passée, 24 septembre 1922

de Christophe Granger

Nicolas Mathieu, la littérature est une manière de rendre les coups…

de Richard Gaitet , Nicolas Mathieu

Boxer comme Gratien

de Didier Castino

Les Poings

de Joseph Incardona
Monter sur le ring Une impressionnante enquête historique sur un combat de 1922, un essai très personnel de sociologie sportive, une biographie romancée qui sort de l’oubli Gratien Tonna « le démolisseur » ou encore le récit d’un retour sur le ring… quatre livres autour de la boxe comme autant de leçons de vie. Si la boxe n’était que de la boxe, ça se saurait. Elle est bien plus que ça, une évidente métaphore de la vie ; il n’est pas d’existence qui, tôt ou tard, ne soit une lutte, un combat, un corps-à-corps. C’est en quoi les moins amateurs voire les détracteurs de la chose pugilistique peuvent, mais si, mais si, y trouver matière à leçon et, qui sait, à admiration. Ceci ayant été dit, appelons successivement, tel un speaker à la voix de stentor sur le ring, nos quatre auteurs de livres très différents, ce qui fait d’ailleurs tout le sel de les réunir ici. Intéressons-nous d’abord à Christophe...
mars 2024
Le Matricule des Anges n°251

L’empêcheur de critiquer en rond

La charge de Jean-Philippe Domecq contre une certaine critique reparaît alors que la comédie littéraire devrait battre son plein cette rentrée. De quoi ne pas désespérer. L’écrivain (romancier et essayiste) porte chemise blanche et cheveux légèrement grisonnants sur les tempes. Courtois, attentif à ses propos, il se réjouit aujourd’hui que son Pari littéraire (éd. Esprit, 1994) ait droit à une renaissance. Sous un titre clin d’œil (on pense à la pièce d’Edward Albee), Qui a peur de la littérature ? reprend l’essentiel des textes déjà parus. Pourquoi cette...
septembre 2002
Le Matricule des Anges n°40

Le coulis, mode d’emploi

Comment des tomates ramassées en été, cuisinées en août et mangées en janvier ont donné naissance à un roman ludique. Portrait de deux artistes en frères d’écriture. Pour faire un bon coulis de tomates, il faut trois heures et demie de cuisine. Pour écrire un roman sur la fabrication du coulis de tomates, il faut être un peu cinglé. Pour l’écrire à deux, il faut être complètement maboul. L’incroyable, c’est qu’un tel roman a été écrit par un Narbonnais, Gilles Moraton, qui vit à Béziers où est né son complice, Fabrice Combes. Quand on connaît...
juin 2002
Le Matricule des Anges n°39

La correctrice

Un mois après l’envoi du roman, j’avais reçu les premières épreuves – appelées « non corrigées », c’est-à-dire que l’éditeur n’était intervenu que sur la mise en forme du texte. Elles comportaient dans les marges des annotations manuscrites qui portaient cette fois sur le sens et sur l’orthographe. « Sur », par exemple, y aurait été repéré -trois fois en trois lignes- et puis tiens, tant...
juin 2002
Le Matricule des Anges n°39

Le chant des bananes

Musicien prodigue, loufoque dramaturge, poète peu sérieux, Jacques Rebotier fait tourner la langue sur elle-même, jusqu’à ne plus rien nous en laisser voir que le dos. Une oeuvre hallucinante où tout est renversé. Les mots glissent, se retournent sur eux-mêmes en palindromes. Les phrases affluent dans une logique dérivante, délirante. Les mots jouent, bifurquent en calembours. Il y a du jeu entre les mots et de sérieux risques d’avalanches. Dans La Vie est courbe, Jacques Rebotier fait parler un homme dans sa baignoire, une fois que les plombs ont pété : « Les paroles sont liquides, les pensées sont...
décembre 2001
Le Matricule des Anges n°37