Lmda N°105
John Banville nous offre une belle méditation sur l’enfance, la mort et le souvenir, en hommage à l’art seul capable de figer les instants les plus éphémères.
Max vient de perdre sa femme Anna d’un cancer. Dès l’annonce de sa maladie le réel leur est apparu dans toute « sa froideur grossière » les éloignant inexorablement l’un de l’autre, « chacun connaissant le truc ignoble que l’autre connaissait ». Max s’enlise dans la rédaction d’une monographie sur le peintre Bonnard, ce « grand et tragique artiste ». À plus de 70 ans, il peignait encore le...
Ultimes miroitements
juillet 2009