Lmda N°117
Bret Easton Ellis signe un nouveau roman dépressif, mais l’air absent : Suite(s) impériale(s), fiction étique et pataude, prolonge pour rien ses premières amours.
Sorti en juin aux états-Unis, Imperial Bedrooms s’y est fait pas mal éreinter. Rien de tel chez nous, la critique, unanimement élogieuse, s’accommodant assez bien de la réception outre-Atlantique. C’est que les Américains sont bêtes, comme l’a récemment dévoilé un sagace lecteur du Masque et la Plume.
On peut voir les choses autrement. Non qu’il faille par principe reprocher à Bret Easton...
Moins que bien
octobre 2010