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RUBRIQUE Entretiens

Les articles

Le Grand Sommeil

de Raymond Chandler
Le vilain rêve De l’utilité de lire Le Grand Sommeil dans la retraduction de Benoît Tadié, qui rend au premier roman de Chandler sa singularité triste et toujours frémissante. Évidemment, on se souvient de l’adaptation d’Howard Hawks : clair-obscur au cordeau, récit au galop, érotisme incisif des dialogues Bogart/Bacall. Sauf que leur couple ne s’est jamais formé chez Raymond Chandler (où le détective Philip Marlowe repoussait toute manipulation des dames) ; que l’histoire y était beaucoup plus composite (Chandler ayant fondu l’intrigue de deux nouvelles antérieures, et se fichant assez d’une vraisemblance que le style seul se chargeait d’assurer) ; que la couleur d’ensemble du roman tirait, plutôt que vers le noir et blanc classieux consacré par la tradition,...
mars 2024
Le Matricule des Anges n°251

Danielle Mémoire, contre toute certitude

Elle rêvait d’écrire un seul livre. Elle poursuit depuis 1984 une œuvre romanesque unique dont Les Personnages est le huitième volume publié. Rencontre. Tout au long de l’entretien qu’elle nous a accordé chez elle en plein cœur de Paris, Danielle Mémoire n’aura de cesse de s’excuser de ne pas savoir parler de son travail. Fausse modestie ? Trois heures de conversation avec elle auront suffi à rejeter cette hypothèse. Danielle Mémoire est plus vraisemblablement un grand écrivain qui s’ignore. L’autosatisfaction n’est pas sa tasse de thé. Rares...
avril 2001
Le Matricule des Anges n°34

Rêver en préhistoire

Jean-Loup Trassard recrée avec Dormance ces temps lointains où l’homme néolithique s’installa près de sa maison natale. Un roman épineux, éblouissant, comme sorti des vapeurs souterraines. Partageant son temps entre Saint-Germain-des-Prés et Saint-Hilaire-du-Maine (Mayenne) où il est né, Jean-Loup Trassard cultive une œuvre discrète et rare. Depuis quarante ans, son territoire d’écriture est celui d’un enracinement, heureux, sensuel et violent. Il s’étend au patois, aux cours d’eau, à la campagne de son canton, mais aussi à celle du Queyras, de l’Aubrac ou même de la Russie,...
avril 2001
Le Matricule des Anges n°34

Pinocchio retraduit par Morel

Figure classique du garnement cabochard, le personnage de Pinocchio n’est pas celui que l’on croit. Il est enfin démasqué par une traduction rénovante. On savait Pinocchio menteur, il avançait masqué. Tandis que le néo-situationniste Michel Bounan ou Paul Auster en émaillent à l’occasion leurs propos, ce grand texte du patrimoine littéraire du XIXe siècle réclamait une relecture. C’est à Jean-Paul Morel qu’on la devra. Critique littéraire (Le Matin de Paris, À Suivre, Le Magazine littéraire) et éditeur (ex-maison Séguier), ce journaliste né...
avril 2001
Le Matricule des Anges n°34

Vivre la ville

Dans le sillage de Léon-Paul Fargue, piéton de Paris, Aragon, Henri Calet ou encore Walter Benjamin, piéton de Berlin, Marie Rouanet renoue avec le chant ou le réenchantement de la ville. Avec bonheur. Les petits bonheurs du quotidien, de l’intime, de l’enfance, elle les a souvent exprimés. Nous les filles (Payot, 1990) en fut un des témoignages éclatants. Toutefois si ses vingt-cinq ouvrages restituent beaucoup de lumière, (lumière du soleil après la pluie), des ombres graves, hiératiques s’y appesantissent aussi. Celle des prisons pour enfants (Les Enfants du bagne, Payot, 1992), celle de...
janvier 2001
Le Matricule des Anges n°33

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